dimanche 21 juin 2015

Ach, Paris !

Les choses sérieuses commencent !

Paris est à une trentaine de kms urbains - inconnus. Ma terreur est immense. Je dois faire entièrement confiance au navigateur (sans entendre ses instructions orales dans la circulation) pour atteindre le camping  situé au Bois de Boulogne, allée du Bord de l'Eau. L'adresse est alléchante et le camping ferme à 1h du matin, ce qui me laisse largement le temps de me tromper.

Après un détour involontaire par 2 chemins impraticables et un camp de Roms, sans compter mille arrêts vérificatoires, je parviens au camping au bout  de 6 heures. Ouf, je peux décompresser !

Mais les mauvaises surprises se succèdent. Le camping est au bord de la route à grande circulation qui traverse le Bois. Pour avoir l'électricité, je dois prendre une place de camping-car à 37,50 € (record absolu de mon voyage), un concert en plein air démarre à 22h de l'autre côté de la route, tandis que les joyeux campeurs entament une partie de pétanque enthousiaste à 22h30. Ah, et on ne voit pas la moindre goutte d'eau dans le paysage !

La certitude qu'un cycliste anglais partage la même misère non loin de moi m'aide à m'endormir.

5 commentaires:

  1. Paris ! C'est aussi la capitale des problèmes et des surprises en tous genres : tout y prend une ampleur sans pareil...
    Il faut donc une bonne dose d'insouciance et un sacré culot pour la défier et lui "tourner autour" avec votre équipage presque anachronique mais c'est le challenge 2015 : Bravo !

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  2. Eh bé ! J'espère que tes autres hébergements à Paris seront plus abordables et confortables ! Dis donc, tu vas voir la Maison de la Radio toute rénovée, t'as de la chance !

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  3. silence radio ..... tes messages ne parviennent pas à franchir les murs de la Capitale ?
    Où en es tu ? prise par le tourbillon de la Ville ! bercée par le confort d'une halte prolongée ?
    enivrée par les multiples intérêts des expo, des spectacles , saoulée par le bruit, la foule que sais-je encore ! mimis

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  4. silence radio .... tes messages ne parviennent pas à franchir les murs de la Capitale ?
    où en es tu ? enivrée par les expo, les spectacles, saoulée par le bruit , la foule, grisée par une halte plus prolongée , vivement que tu reprenne la route , on se sent abandonnés au bord du chemin . mimis

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  5. je vois ma manoeuvre à fait un doublon !!!

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Allez, lâche-toi !