samedi 11 juillet 2015

Feurs

Le navigateur est d'humeur badine ce matin : il m'envoie direct sur les monts du Forez. 6 km de montée douce, puis moyenne, puis carrément pentue. Je maudis sa race, mais tout en poussant le vélo, admire un panorama de plus en plus époustouflant, à perte de vue. Un âne albinos me regarde tristement. La descente est vertigineuse. J'ai envie de crier de joie et de peur et j'enfile les kilomètres comme des perles.
En quelques minutes, c'est à nouveau la plaine. A Balbigny, les pêcheurs courtisent la Loire. Feurs n'est plus très loin.

1 commentaire:

  1. Oh, ben oui le pauvre âne, sans ami et sans verdure !

    En fait tu es devenue la Sirène de la Loire :)

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Allez, lâche-toi !